Se pose des questions [libre]

Thomas se promenait dans le parc Borelli, le jeune homme était songeur, cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait pas eu de nouvelles de son homme et il se demandait bien où ce dernier avait pu passer. Il s'assit sur un banc et lui envoya un énième texto, qui restera sans réponses, comme tous les autres. il soupira doucement.

Charles se baladait dans le parc Borelli, il regardait tout autour de lui. Il profitait bien de sa retraite. il passait a cote de Thomas Marci.

Tiens monsieeur Marci, Bonjour.

Une voix sortit Thomas de ses pensées, il leva les yeux vers la personne qui le saluait. Charles Frémont. Autant il était ami avec Céline, autant il n'aimait pas vraiment Charles, mais comme sa maman l'avait bien élevé, il répondit poliment.

- Bonjour Monsieur Frémont

Il fumait un cigare, il était surpris que Thomas lui répondait car il ne l'aimait pas, mais bon au moins il était poli.

Alors comme ca on se promène?

Thomas regarda le banc sur lequel il était assit et eut un sourire amusé.

- Techniquement je suis assis donc non, mais dans l'absolu oui, je me promène. Vous aussi à ce que je vois. Remarquez, il fait beau, c'est un temps idéal pour prendre l'air.

Oui vous avez raison, autant prendre l'ai maintenant, tant qu'il est bon car il devrait neiger la semaine prochaine.

Il souria et regarda autour de lui.

Thomas fit une grimace, il n'aimait pas la neige.

- Ah bon ? Humm je n'aime pas trop la neige moi, dommage qu'on ne soit pas comme les ours, qu'on ne puisse pas hiberner, parce que sinon je le ferais sans hésiter

A vrai dire moi non plus je n'aime pas ca, tous ces jeunes qui s'amusent à se jeter des boules tout ca. ous avez raison, ce serait unze très bonne solution.

- Et oui mais bon, nous ne sommes pas des bêtes.

Il esquissa un sourire

Benoit se promenait dans le parc borelli,n il profitait dde sa libération, il n'avait pas vu thomas et charles. Il regardait la fontaine.

Thomas aperçu Benoit au loin, il ne voulait pas le déranger, et comme apparemment le jeune homme ne l'avait pas vu, Thomas le laissa se promener. Il regarda Frémont qui semblait contempler quelque chose de très intéressant mais le barman n'arrivait pas à savoir ce qui pouvait tant le captiver.

Il voyait enfin Thomas et Charles, il fit un signe de la main a Thomas mais n'osait pas avancer car il parlait avec Charles Frémont.

Thomas répondit au signe de Benoit et saisit l'occasion pour fausser compagnie à Frémont. Il se leva de son banc et se tourne vers Charles.

- Bien, excusez-moi, mais j'ai à faire, au revoir et bonne journée Monsieur.

Il alla vers Benoit et lui sourit.

- Salut, tu vas bien ?

Il vit Thomas venir vers lui, il lui serra la main.

Salut Thomas, en ce moment c'est pas le top, et toi?

Il le regarda.

- Et bien il faut croire que c'est la saison qui veut ça. Moi c'est pareil, ce n'est pas le top non plus. Qu'est-ce qui se passe pour toi ?

Oui tu as raison, le temps va etre mauvais ces jours ci. Moi je ne sais plujs ou j'en suis, je n'arrive pas à reprendre ma vie en main après presque deux mois a etre enfermé.

Il regarda les gens dans le parc.

Et toi?

Il le regarda en arborant un air compatissant.

- Je ne peux pas te dire que je comprends ce que tu ressens, parce que je n'ai jamais été enfermé aussi longtemps, mais laisse-toi du temps, tu ne peux pas reprendre tes marques comme ça, d'un coup. Mais je suis sûr que ça viendra.

Il regarda son portable. Et voilà, il avait raison encore aucune réponse. Il leva de nouveau les yeux vers Benoit.

- Moi je suis inquiet, ça fait plusieurs jours que je n'ai pas de nouvelles de Florian, et je n'arrive pas à le contacter. Je lui envoi des sms, j'essaye de l'appeler mais je tombe sur son répondeur. J'ai peur, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé.

Oui j'espère et à vrai dire, j'ai peur aussi pour mes enfants, j'ai peur que Cedric a des amis libres et qu'ils s'attaquent à eux alors qu'ils sont partis se promener.

Puis il écoutait Thomas.

Ah d'accord, je comprends, mais tu sais il a peut etre beaucoup de travail?

Il essayait de rassurer Thomas.

- Je comprends, mais il faut que tu essayes de te sortir ces pensées atroce de ta tête. Tu dois ré apprendre à vivre normalement......Je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire.

Il esquissa un sourire. Il le regarda et haussa un sourcil.

- Trop de travail ? Ça pourrait être une raison, mais pas au point de ne pas rentrer à la maison, ça fait plusieurs jours qu'il est parti du studio et que je n'ai plus de nouvelles

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